Testimonianze

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181624. François Garasse (1585-1631).

Apologie du Pere Francois Garassus, de la compagnie de Iesus, pour son Livre contre les Atheistes & Libertins de nostre siecle. Et response aux censures et calomnies de l’Autheur Anonyme. A Paris, Chez Sebastien Chappelet, ruë S. Iacques au Chapelet. mdcxxiv. Avec Privilege & Approbation, 360 p.

/5/ Nous voyons l’Atheisme publiquement enseigné par Lucilio & ses compagnons, qui sont comme l’Anti-apostolat du Sathan; nous voyons la brutalité & les vices qu’on n’ose nommer, authorisez par le Parnasse & le Cabinet Satyriques, nous voyons la magie en vogue parmy les Freres de la Croix des Roses: nous voyons les profanations des choses sainctes publiquement imprimées & soustenuës impunément par leurs Autheurs: nous voyons l’heresie des Illuminez, pire que celle des Begards & Beguines, qu’on estima iadis les porte flambeaux de l’Antechrist.

/6/ Lucilio Vanino & ses compagnons ont à leur advis quelque froide excuse en leur impieté; sçavoir une resolution philosophique, qui les porte au mespris de la mort, & de là les iette furieusement iusques à celuy de leur ame. Theophile Viaud & ses complices semblent se mettre à couvert des reproches qu’on leur faict, par un lasche & faux des-adveu de leurs vilainies.

/134/ Quant aux Autheurs ie les luy nommeray nom & surnom, quand il s’en devroit fascher, pour l’interest qu’il monstre avoir en la conservation de leur honneur: Le premier & plus dangereux de tous est Pierre Charron, le second est Lucilio Va/135/nino, & le troisiesme Theophile Viaud.

/142/ En somme pour Lucilio Vanino, ce meschant forbany estoit un des plus abandonnez & lasches Atheistes que le monde vid iamais: traistre, coulant, doucet, & pliant aux occasions pour s’insinuer avec plus de puissance, & d’ordinaire la premiere leçon qu’il donnoit à ceux dont il avoit quelque esperance, estoit de leur dire doucement & comme par maniere d’essay, Qui vero tibi negaret Christum, quid diceres? Qui vous renvoyeroit Iesus-Christ & toute sa Religion, remettant tout cela au /143/ nombre des fables, que diriez-vous? ie sçay cette verité de la bouche de plusieurs qui l’ont frequenté familierement, & qui graces à Dieu se sont desfaits de tous ces horribles fantosmes. Puis qu’il a pleu à nostre Ecclesiastique de sçavoir pourquoy i’avois publié ces maximes d’impieté en voyla la premiere raison, qui, ie m’asseure, ne luy donnera pas beaucoup de satisfaction, parce qu’elle ne luy porte des bonnes nouvelles de ses amys. Que s’il veut par avance esprouver la fidelité de mes citations qu’il lise la seconde partie des œuvres de Theophile Viaud, pag. 16. pag. 62. pag 66. pag. 74. pag 15. pag. 193. & la page 145. de la premiere partie sans mandier des tesmoignages du Parnasse, & de ses poësies secrettes.

/144/ Nostre honeste Ecclesiastique, pour me faire voir mes impietez pretendues en la publication des Maximes de Charron, Vanino, & Viaud ses bons amis, uze d’une compariason qui viendroit puissamment & droitement contre moy [...] /145/ Il dit en la pag. 117 de son Libelle, qu’en la publication des Maximes d’impieté ie fais comme celuy qui pour detester un tableau lascif, le tireroit d’un coing obscur d’une chambre, où à peine il estoit veu, pour le mettre en parade sur un buffet aux yeux de tout le monde.

/146/ Il me fera peut-estre la response ordinaire que font les admirateurs ce Charron, sçavoir, qu’on a corrigé son Livre, & mis les impietez & impudicitez à part: excuse pire que le peché [...] Ainsi quelqu’un frappé du mal de Viaud & de /147/ Lucilio ayant leu Charron tres-exactement, mit à part toutes ses impietez dont il a fait un bouquet, & les a comme fleurs d’élite rangées à la fin du livre avec une Preface digne de l’Autheur, & ce titre, qui sert de bouchon pour inviter les Lecteurs à voir les fleurs, & comme les plus excellentes pensées de Charron. Recueil des lieux & Chapitres de trois Livres de la Sagesse de Pierre Charron, suivant la premiere Edition faite à Bordeaux 1610: qui ont esté depuis reveus, changez, ou corrigez par l’autheur. C’est à dire, en bonnes termes. Qui voudra voir le pressis & la creme des Atheismes de Charron & de ses brutalitez, qu’il lise cet abregé [...]. Nostre Ecclesiastique n’est pas si /148/ ignorant qu’il ne sçache que les Impietez de Lucilio Vanino sont imprimées chez Perier au Compas ruë S. Iaques, avec approbation des docteurs & privilege, quoy que le tout supposé, & que la seconde partie des Atheismes ou Imondicitez de Theophile Viaud est imprimée chez Quesnel aux Colombes ioignant sainct Benoist, avec privilege & sans approbation, il n’est pas si despourveu de sens qu’il ne sçache bien que ces Livres sont publiquement & sans contradiction leus indifferemment de tout le monde: & par ainsi ie reviens & dis que sa comparaison cloche de deux iambes, & suppose une tres-maligne fausseté quand il dit que publiant dans mon Livre les Maximes de Viaud, Charron, & Lucilio, ie fais comme qui tireroit un pourtrait lascif d’un coing de chambre obscur, pour le mettre en son iour sur un buffet & à la veuë de tout le monde.

/151/ Il dit que ie ne suis pas en pareils termes que furent ces Anciens Peres, pour deux raisons, qu’il allegue dans son Libelle: la premiere que ces Saincts personnages estoient forcez de publier ces abominations: d’autant qu’elles estoient publiques & comme authorisées par le monde. A Cela ie luy viens de faire une tres-/152/ solide response, car iamais les impudicitez de Carpocras ne furent si connuës dans les villes de la Grece que les impudicitez de Viaud, les blasphemes de Lucilio, & les impietez de Charron sont connuës par la France.

/261/ Ie dis que cet Escrivain est plus dangereux à la ieunesse & aux hommes du siecle /262/ qui ne sont que mediocrement sçavans, que les Livres de Theophile & de Lucilio Vanino, d’autant qu’il dit plus de vilainies qu’eux, les dit avec quelque peu d’honnesteté, c’est à dire d’autant plus dangereusement qu’il se tient sur ses gardes, & qu’on lit sa Sagesse comme un Livre devot.

/264/ Tout le discours de Charron porte l’esprit de ses lecteurs à ceste rare maniaque de secoüer la creance de Dieu, qui neantmoins n’est qu’une lascheté de beste, comme il se verifie en tous les Atheistes, qui meurent ou enragez ou poltrons, ainsi que nous avons veu en la personne de Fontanier & de Vanino, lesquels apres avoir fait des bravades insolentes con/265/tre la Divinité, estant en prison, ne pouvoient se saouler de faire des confessions feintes & sacrileges, pour paroistre gens de bien.

/266/ Là mesmes il dit ouvertement, quoy qu’à son ordinaire avec une traistreuse & coulante traisnée de paroles. Que la Religion est une sage invention des hommes, pour contenir la populace en son devoir: & quoy qu’il fasse semblant de le dire en la personne des Atheistes: neantmoins il fait comme Lucilio Vanino: ou plustost celuy-cy comme celuy-là, il trahit sa cause: car il rapporte la force de leurs raisons, les expose, les commente, le met en posture, & puis nous laisse là. Prevarication desloyale & ordinaire à ces deux Escrivains.

/295/ D’autres confessent que ie n’ay pas inventé ces Maximes, mais que i’ay grand tort de les avoir imprimées, comme si l’impression qui se fait sur le papier estoit plus dangereuse que celle qui se fait dans l’esprit, & comme si ces Axiomes d’impieté n’estoient pas imprimez plus horriblement dans Charron, Lucilio Vanino, & Theophile Viaud?

/5/ Noi vediamo l’ateismo pubblicamente insegnato da Lucilio e dai suoi compagni, che sono come l’anti-apostolato di Satana; vediamo la brutalità e i vizi che non oso nominare, autorizzati dal Parnasse e dal Cabinet Satyriques; vediamo la magia in voga tra i Freres de la Croix des Roses; vediamo le profanazioni delle cose sante, pubblicamente stampate e impunemente divulgate dai loro autori; vediamo l’eresia degli Illuminati, peggiore di quella dei Begards e dei Beguines, che un tempo furono stimate come le portafiaccole dell’Anticristo.
/6/ Lucilio Vanino e i suoi compagni hanno – a loro avviso – qualche fredda scusa per la loro empietà, cioè hanno una risoluzione filosofica, che li conduce al disprezzo della morte e da ciò li spinge furiosamente a quella della loro anima. Théophile de Viau e i suoi complici sembrano trovare riparo ai rimproveri che vengono loro mossi, con vili e false condanne delle loro villanie.
/134/ Quanto agli autori non li nominerei per nome e cognome, poiché dovrebbero pentirsi dell’interesse che mostrano di avere nella conservazione del loro onore. Il primo e più dannoso di tutti è Pierre Charron, il secondo è Lucilio Vanini /135/ e il terzo Théophile de Viau.
/142/ Insomma per Lucilio Vanini, quel maligno bandito, era uno dei più trascurati e codardi atei che il mondo avesse mai visto: traditore arrendevole, amabile, pieghevole all’occasione per aver modo di inserirsi con più energia; e in genere la prima lezione che dava a coloro su cui nutriva qualche speranza era di dir loro dolcemente, quasi nella forma d’un assaggio: Qui vero tibi negaret Christum, quid diceres? Se qualcuno negasse Cristo e tutta la sua religione annoverandola /143/ tra le favole, che risponderesti? Ho appreso ciò dalla bocca di parecchi che lo hanno frequentato con familiarità e che, grazie a Dio, non si sono lasciati abbindolare da siffatti fantasmi. Poiché è piaciuto al nostro ecclesiastico di sapere perché avevo pubblicato queste massime di empietà, eccone la ragione principale, che, sono sicuro, non gli darà molta soddisfazione, perché essa non gli dà buone notizie dei suoi amici. Che se poi vuole che sia provata la fedeltà delle mie citazioni, legga la seconda parte delle opere di Théophile de Viau, pp. 16, 62, 66, 74, 15, 193, e p. 145 della prima parte senza domandare la testimonianza del Parnasse e delle sue poesie segrete.
/144/ Il nostro onesto ecclesiastico, per farmi scoprire le mie presunte empietà nella pubblicazione delle massime di Charron, di Vanini e di Viau, suoi buoni amici, ricorre ad una comparazione che andrebbe dritta e potente contro di me [...]. /145/ Egli dice a p. 117 del suo libello, che nella pubblicazione delle massime empie faccio come colui che, per detestare un quadro lascivo, lo tira fuori da un oscuro angolo di una camera, dove appena era visto, e lo colloca in bella parata su una credenza sotto gli occhi di tutti.
/146/ Egli mi darà forse la risposta che danno gli ammiratori di Charron, cioè che l’aver censurato il suo libro e l’aver bandito le sue empietà e impudicizie è azione peggiore del peccato da lui commesso [...]. così  qualcuno, colpito dal male di Viau e di /147/ Lucilio, avendo letto molto correttamente Charron, mette da parte tutte le sue empietà, ne fa un mazzo e le tiene come fiori scelti, ordinati alla fine del libro con una prefazione degna dell’autore; questo titolo serve da copertura per invitare i lettori a vedere i fiori come i pensieri più eccellenti di Charron. Raccolta dei luoghi e dei capitoli dei tre libri della Sagesse di Pierre Charron, secondo la prima edizione di Bordeaux del 1610[29], che sono stati in seguito rivisti, modificati ed emendati dall’autore, cioè in poche parole: chi vorrà vedere il compendio e la crema degli ateismi di Charron e delle sue brutalità, non ha che da leggere tale sunto [...]. Il nostro ecclesiastico non è così  /148/ ignorante da non sapere che le empietà di Lucilio Vanini sono stampate presso Perier au Compas ruë S. Jacques, con approvazione e privilegio, benché ciò sia una supposizione; e che la seconda parte degli ateismi e immondizie di Théophile de Viau è stampata presso Quesnel aux Colombes all’incrocio con Saint Benoist, con privilegio e senza approvazione;[30] egli non è così  privo di sensi da non sapere che questi libri sono letti pubblicamente e senza contraddittorio indifferentemente da tutti. E così  torno alla questione e dico che la sua comparazione zoppica di due gambe e che egli parte da una malvagia falsità quando dice che pubblicando nel mio libro le massime di Viau, di Charron e di Lucilio, faccio come colui che trae dall’angolo di una camera oscura un ritratto lascivo e lo mette alla luce su una credenza alla vista di tutti.
/151/ Egli dice che i miei non sono gli stessi termini degli antichi Padri per due ragioni, allegate nel suo libello. La prima è che quei santi personaggi erano costretti a pubblicare quelle frasi abominevoli, in quanto esse erano pubbliche e autorizzate da tutti. A ciò rispondo molto solidamente: /152/ perché le impudicizie di Carpocrate non furono mai conosciute nelle città della Grecia, come le impudicizie di Viau, le bestemmie di Lucilio e le empietà di Charron sono note in Francia.
/261/ Io dico che questo scrittore è più dannoso alla gioventú e agli uomini del secolo /262/ che sono solo mediocremente sapienti, di quanto lo siano i libri di Théophile e di Lucilio Vanini, in quanto dice più villanie di loro e le dice con un po’ di onestà, cioè è più pericoloso perché si tiene in guardia e perché la Sagesse vien letta come un libro devoto.
/264/ Tutto il discorso di Charron porta lo spirito dei suoi lettori a questa rara mania di scrollarsi di dosso la credenza in Dio, che non è che una debolezza bestiale, come accade in tutti gli atei che muoiono o arrabbiati o codardi, come abbiamo visto nelle persone di Fontanier e di Vanini, i quali, dopo aver fatto delle bravate insolenti contro /265/ la Divinità, stando in prigione, non potevano omettere di fare delle finte e sacrileghe confessioni per sembrare gente dabbene.
/266/ Lì egli dice apertamente, benché al suo solito con un proditorio e scorrevole fiume di parole Que la Religion est une sage invention des hommes, pour contenir la populace en son devoir. E benché finga di riferire ciò agli atei, fa tuttavia come Lucilio Vanini o piuttosto questi fa come lui: tradisce la propria causa, perché riporta la forza delle ragioni degli atei, le espone, le commenta e le mette in bella mostra e poi le lascia lì.
Prevaricazione sleale e comune ad entrambi gli scrittori.
/295/ Altri confessano che non ho mai inventato quelle massime, ma ho un gran torto per averle stampate, come se la stampa che si fa su carta sia più dannosa di quella che si fa nello spirito o come se quegli assiomi di empietà non fossero più orribilmente impressi in Charron, Lucilio Vanini e Théophile de Viau?

Indice

(l’ordine cronologico, almeno per alcuni testi, si riferisce alla data di produzione e non di pubblicazione)

1619

1- Histoire Véritable de tout ce qui s’est fait et passé depuis le premier janvier 1619, Paris, Alexandre, 1619.

2- Mercure François, t. v, Paris, Richer, 1619.

3- D’Autreville, Inventaire général des affaires de France, Paris, Ian Petit-Pas, 1620.

4- C. Malingre, Histoire générale des derniers troubles, Paris, Ian Petit-Pas, 1622.

5- Histoire véritable de l’exécrable docteur Vanini, Paris, Soubron, 1619.

6- F. De Rosset, Les Histoire mémorables et tragiques, Histoire v, Paris, Chevalier, 1619.

7- G. de Catel, Lettera a Nicolas-Claude Fabri de Peiresc del febbraio 1619.

1621

8- J. Gaultier, Table chronographique de l’Estat du Christianisme, Lyon, Rigaud, 1621.

1622

9- M. A. De Dominis, Lettera a Giacomo I d’Inghilterra dell’11 febbraio 1622.

1623

10- M. Mersenne, Quaestiones in Genesim, Paris, Cramoisy, 1623.

11- Ch. Sorel, Histoire comique de Francion, Paris, Billaine, 1623.

12- Effroyables pactions faictes entre le diable et le pretendus Invisibles, 1623.

13- G. Naudé, Instruction à la France, Paris, Iulliot, 1623.

14- F. Garasse, La doctrine curieuse, Paris, Chapelet, 1623.

15- F. Ogier, Iugement et censure du livre de la doctrine curieuse, Paris, 1623.

16- F. Garasse, Lettres justificative del 6 novembre 1623.

17- M. Molé, Mémoires, t. i, Paris, Renouard, 1855.

1624

18- F. Garasse, Apologie, Paris, Chappelet, 1624.

19- J. de Silhon, Lettre à l’evesque de Nantes, 1624.

20- M. Mersenne, L’Impiété des Déistes, t. i, Paris, Bilaine, 1624.

21- M. Mersenne, L’Impiété des Déistes, t. ii, Paris, Bilaine, 1624.

22- Théophile de Viau, Apologie, 1624.

23- A. Remy, Deffence pour Estienne Pasquier, Paris, Ruelle, 1624.

24- F. Garasse, Epistre à Monsieur d’Oignon, Paris, Quesnel, 1625.

1625

25- F. Garasse, La somme théologique, Paris, Chappelet, 1625.

26- Ch. Besold, Dissertatio politioco-juridica de Majestate, Argentorati, Zetzner, 1625.

1626

27- J. de Silhon, Les deux vérités, Paris, Sonnius, 1626.

1628

28- R. Burton, The anatomy of melancholy, London, Crips, 1628.

29- Von dess Doctoris Julii Caesaris Vanini, sonsten Luciolus genandt, erschröcklicher gottloser Lehr, in M. Zeiller, Theatrum tragicum, Tübingen, Brunn, 1628.

1629

30- Ch. Cotin, Discours à Theopompe, 1629.

31- R. Fludd, Sophia cum Moria certamen, Frankfurt, Rötel, 1629.

1630

32- E. Richer, Vindiciae doctrinae, Coloniae, Egmond, 1683.

33- R. Descartes, Lettera del 17 ottobre 1630.

34- M. Mersenne, Questions rares et curieuses, Paris, Billaine, 1630.

1632

35- G. Franzosi, De divinatione per somnium, Francofurti, Beyer, 1632.

1634

36- J. de Silhon, De l’immortalité de l’ame, Paris, Billaine, 1634.

1635

37- C. Clemens, Musei, sive Bibliothecae, Lugduni, Prost, 1635

38- J. J. De Loyac, Le libertin converty, Paris, Toussainct du Bray, 1635.

39- J. A. de Richelieu, Mémoire, mss.

40- J. Gaches, Mémoires mss.

41- S. Dupleix, Histoire de Louis le Juste XIII, Paris, Sonnius, 1635.

1637

42- J. Cluver, Historiarum totius mundi Epitome, Lugduni Batavorum, Marcus, 1637.

43- F. de la Mothe le Vayer, Petit discours de l’immortalité de l’ame, Paris, Courbé, 1637.

1639

44- G. Voet, De atheismo, Utrecht, Roman, 1639.

1641

45- H. Sponde, Annalium Emin.mi Card. Caes. Baronii continuatio, Lutetiae, La Noue, 1641.

46- A. D’Abillon, La divinité defendue, Paris, Iosse, 1641

47- M. Ruar, Lettre à Mersenne del 13 settembre 1641

48- M. Mersenne, Lettre à Ruar del 1° dicembre 1641.

1642

49- F. Grenaille, La mode ou le charactère de la religion, Paris, Gasse, 1642.

1643

50- G. Patin, Lettre à Ch. Spon del 16 novembre 1643.

51- G. B. de Gramond, Historiarum Galliae, Toloae, Colomerius, 1643.

52- M. Schoock, Admiranda methodus, Utrecht, Waesberge, 1643.

53- R. Descartes, Epistola ad cel. virum Gisbertum Voetium, Amsterdam, Elzevir, 1643.

1645

54- R. Descartes, lettera del 16 giugno 1645.

55- S. Desmarets, Ultima patientia, Groningae, Nicolai, 1645.

1646

56- M. Schoock, Necessaria et modesta defensio, Groningae, Nicolai, 1646.

57- S. Desmarets, Bonae fidei sacrum, Groningae, Nicolai, 1646.

1647

58- C. van Baerle, Epistolarum liber, Amsterdam, Blaev, 1647.

1650

59- Naudaeana et patiniana, Paris, Delaulne, 1701.

60- Patiniana, ms. 7071 della Österreichische Nationalbibliothek di Vienna.

1653

61- Zacharie de Lisieux, Saeculi genius, Paris, Cramoisy, 1653.

62- Th. Raynaud, Erotemata de malis ac bonis libris, Lugduni, 1653.

1655

63- Ch. Sorel, La science universelle, t. iv, Paris, Le Gras, 1655.

1657

64- L. Guez de Balzac, Socrate chrestien, Paris, Courbé, 1657.

65- G. Tallemant des Reaux, Historiettes, t. i, Paris, Levavasseur, 1834.

1690

66- J. E. Schwelling, Exercitationes cathedrariae, Bremae, Brauer, 1690.